Sciences et recherches participatives (SRP)
Science citoyenne, crowdsourcing, recherche-intervention, recherche-action participative… Les termes sont nombreux et l'expression « sciences et recherches participatives » englobe une grande diversité d’approches. Car il n’y a pas de manière unique de faire des SRP, bien au contraire ! Citoyens curieux, écoliers, naturalistes amateurs, agriculteurs, élus, consommateurs, militants associatifs, etc. : les participants peuvent venir d’horizons très différents. Dans certains projets, les participants vont collecter des données en masse qui seront ensuite analysées par les chercheurs. Dans d’autres, les participants et les chercheurs travaillent ensemble dès la formulation de la question de recherche et tout le long du processus de recherche, jusqu’à la diffusion des résultats.
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INRAE est particulièrement investi dans le développement des SRP avec près de 300 projets ou programmes et 320 agents impliqués.
Au sein de sa direction pour la Science ouverte (DipSO), le pôle Sciences en société (SenS) mène des actions pour soutenir et valoriser les SRP dans l'Institut : sensibilisation des équipes, partage d'informations, formation et accompagnement des collectifs de recherche, ou encore soutien au développement de nouveaux partenariats et de dispositifs de lien entre recherche et société.
Depuis 2025, INRAE s'est doté d'une stratégie pour les SRP pour la période 2025-2030.
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Témoignages
« Vous nous appelez partenaires, mais pour nous, le partenaire c’est vous… la recherche ».
« Avec des projets [participatifs] comme EcoVitiSol, la valorisation est bien plus puissante, utile. Et on travaille sur une réalité de terrain, plus en prise avec les questions des acteurs ».
« C’est important de revoir sans cesse cette question de recherche, et pour ça, quoi de mieux que de s’appuyer sur les acteurs qui eux, sont directement concernés par le problème traité par le chercheur ? ».
« Entre nous [dans le collectif], petit à petit, il y a une telle confiance, que l’on se met à dire des choses qu’on ne voulait pas dire au début ».